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25 octobre 2006

La HAM de Mutinga annule le débat Bemba kabila

KabBemba2

La tension monte en RDCongo à trois jours d'un scrutin présidentiel crucial © AFP Montage des portraits du président Joseph Kabila et du vice-président Jean-Pierre Bemba © AFP/Archives Désirey Minkoh Gianluigi Guercia KINSHASA (AFP) - mercredi 25 octobre 2006 - 17h47 - L'ONU a demandé mercredi aux candidats du second tour de la présidentielle de dimanche en République démocratique du Congo (RDC) de lancer un "appel public au calme", alors que la tension monte entre partisans du président Joseph Kabila et du vice-président Jean-Pierre Bemba. "Nous attendons des deux candidats qu'ils lancent un appel public au calme et à la discipline à leurs sympathisants", a déclaré Jean-Tobie Okala, le porte-parole adjoint de la Mission de l'ONU en RDC (Monuc), au cours d'un point de presse à Kinshasa. La Monuc souhaite également "qu'ils s'engagent à ne pas répéter les comportements du premier tour en s'autoproclamant unilatéralement vainqueur, en se mettant à la place de la Commission électorale indépendante (CEI) pour annoncer leurs résultats de l'élection". Terne à Kinshasa, où l'atmosphère est tendue depuis les affrontements du mois d'août entre gardes rapprochées des deux candidats, la campagne a été émaillée en province de heurts quasi-quotidiens entre partisans des deux camps. Mardi, au moins deux partisans du vice-président ont blessés dans des heurts avec l'autre camp à Lubumbashi, capitale du Katanga (sud-est), région d'origine de la famille Kabila. Le même jour, une trentaine de jeunes gens ont perturbé un meeting du fils de l'ex-dictateur zaïrois Nzanga Mobutu (rallié à Kabila) en Equateur (nord-ouest), région d'origine de Mobutu et fief électoral de M. Bemba. © AFP DEs soldats uruguayens de l'ONU disposent des sacs de sable devant le domicile du candidat à la présidentielle, Jean-Pierre Bemba, le 25 octobre 2006 à Kinshasa © AFP Lionel Healing Mercredi matin, des groupes de jeunes militants du Mouvement de libération du Congo (MLC, ex-rébellion dirigée par M. Bemba) ont sillonné les rues de Kinshasa, drapeau au vent, dénonçant des entraves à la campagne du vice-président et réclamant la tenue d'un débat contradictoire entre les deux candidats. Mais en début d'après-midi, l'organe de régulation des médias a annoncé l'annulation de ce débat, faute d'accord entre les deux parties. Le président de la Haute autorité des médias, Modeste Mutinga, a expliqué que le camp Kabila avait "opté pour l'enregistrement séparé du débat", notamment pour des raisons de "sécurité", tandis que celui de Bemba avait choisi "le face à face" pour "vérifier les aptitudes intellectuelles des candidats à gérer le pays". Pour un observateur électoral international, bien que favori du scrutin, Joseph Kabila - crédité de 44,8% des voix au premier tour contre 20% à M. Bemba - "ne veut pas d'un face à face où son adversaire, plus prolixe et habile en public, risquerait de marquer des points". Le dernier grand rendez-vous de cette campagne qui n'a vu aucun des deux candidats aller au contact des électeurs, est le meeting-monstre promis par Jean-Pierre Bemba vendredi dans un stade de Kinshasa. "Tout le monde se souvient que son dernier grand meeting s'était soldé en juillet par la mort de trois policiers et une série de pillages", a rappelé à l'AFP un officier de la Monuc, redoutant de nouveaux débordements lors d'un meeting servant d'"exutoire" à des milliers de jeunes gens frustrés après une campagne molle. La Monuc, qui n'a pour le moment observé "aucun mouvement de troupes inhabituels" de l'un ou l'autre camp à Kinshasa, reste sur ses gardes et a mis en place un dispositif mêlant patrouilles de blindés légers et déploiement d'observateurs dans les camps militaires. Devant les résidences de M. Bemba et à certains carrefours de la ville, les Casques bleus ont monté des murs de sacs de sable à côté de leurs blindés. La force européenne Eufor, qui a déployé à Kinshasa 1.400 hommes en appui à la Monuc, se dit "prête à intervenir" en cas de troubles graves.

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Commentaires
M
Je ne connaissais pas du tout ce projet. J'ai vraiment apprecié de lire cette article. Amicalement,
C
Merry Christmas and Best Wishes for a Happy New Year! ! !
A
Outlawz - Hit Em Up god dj khaledlkatch new2007
N
Cher lecteurs, nous vous invitons à lire entièrement cette publication, et vous constaterez le lien entre Mr JP.Bemba et Mr Azarias Rubera et ses banyamulenge<br /> <br /> Quel paradoxe pour le roi de l'apareco de se trouver dans ce groupement suicidaire? Nous vous laissons les commentaires, sous réserve du dernier mot de la CPI.<br /> <br /> (texte cfr Mwinda News n°42)<br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> <br /> <br /> Texte distribué par <br /> <br /> F.KAYEMBE<br /> <br /> Criminologue-Juriste<br /> <br /> Analyste politique<br /> <br /> ================<br /> <br /> <br /> <br /> Sur Congo Tribune du 03.10. 2006, la question a été posée par un Centrafricain :<br /> <br /> <br /> <br /> Jean Pierre BEMBA, UN DANGER POUR L’AFRIQUE CENTRALE ? <br /> <br /> <br /> Qui a intérêt à torpiller les efforts déployés par les Présidents François BOZIZE de la Centrafrique et Joseph KABILA de la R.D. CONGO pour redynamiser les relations de bon voisinage combien séculaire, entre leurs deux pays ?<br /> Comme on le sait, depuis plus de trois ans maintenant, la frontière entre la RCA et la RDC est fermée. Il s’agit de l’interdiction par le gouvernement centrafricain du trafic sur les fleuves Oubangui et Mbomou séparant les deux pays.<br /> A l’origine de cette mesure de fermeture de la frontière, il y a les conséquences de l’intervention des rebelles « BANYAMULENGE » du MLC de Jean Pierre BEMBA aux côtés de l’ex Président Ange Félix PATASSE pour combattre les hommes de BOZIZE. Cette intervention était suivie de massacres, viols et autres crimes perpétrés par les « NYAMAMULENGE » comme on aime aussi appeler les milices du MLC en Centrafrique où l’on a eu à constater la présence de nombreux Rwandais et Ougandais parmi les officiers qui commandaient les opérations au nom de la sale alliance MLPC-MLC entre 2001 et 2003. On peut citer le cas du général MUKWIZA alias MOUSTAFFA, des majors ANTONOV et YVES, du capitaine FRANCK etc.<br /> <br /> PATASSE n’a jamais caché ses accointances avec BEMBA qu’il appelle singulièrement « mon fils ». Ils sont liés aussi dans les affaires (trafic d’armes de guerre, commerce illicite de l’or, du diamant et d’autres produits de contrebande comme le café, la drogue, la fausse monnaie, le cacao, le carburant etc.).<br /> Il y a beaucoup d’enjeux dans cette mafia qui ont poussé PATASSE à ne plus s’occuper des affaires de son pays et à abandonner le peuple centrafricain à son triste sort. Des hommes d’Etat et d’autres célèbres mafiosi ont tissé des relations louches avec le duo BEMBA-PATASSE. Les Libyens sont entrés dans la danse et ont aidé les deux associés à monter un petit empire mafieux au cœur de l’Afrique en collaboration avec d’autres seigneurs de guerre soudanais, rwandais, ougandais, burundais, éthiopiens et même congolais. <br /> Les ramifications sont allées jusqu’en Angola avec des tentacules sur le diamant de l’UNITA de Jonas SAVIMBI. Des trafiquants impénitents comme SANI YALO ou Jean-Yves OLIVIER, ont fait de bonnes affaires grâce à cette alliance diabolique. L’on se souviendra de la scandaleuse affaire « ZONGO-OIL », une mafia économico-financière entretenue par le trio BEMBA-PATASSE-SANI YALO, pour détourner le carburant importé par la République Centrafricaine. Tous les produits pétroliers en provenance de Kinshasa, Brazzaville et Douala étaient stockés à ZONGO et revendus sur le marché centrafricain dix fois si pas mille fois plus chers. Ce vol du siècle a ruiné totalement l’économie centrafricaine. Le gouvernement centrafricain ne sait pas aujourd’hui à quels saints se vouer pour sortir le pays de cet abîme. Dans l’entre-temps, les trois bandits qui ont par leur folie, clochardisé notre peuple et coulé le navire centrafricain, continuent à circuler librement et à penser comment rééditer leurs exploits !<br /> <br /> L’arrivée du Général François BOZIZE au pouvoir en Centrafrique a déstabilisé un peu l’alliance BEMBA-PATASSE. En effet, il faut reconnaître que ces deux compères ont été surpris par la rapidité avec laquelle les troupes de BOZIZE ont pris du terrain à partir du Sud du TCHAD. Aussi, cela est-il arrivé au moment où PATASSE attendait le retour de ses unités d’élite qui étaient en formation à Tripoli et qui devaient permettre le nettoyage des poches rebelles du Nord.<br /> On apprendra après le 15 mars 2003, date de la chute de Bangui, que le Président KADHAFFI avait décidé de se débarrasser de ces militaires encombrants qui seront tout simplement renvoyés à GBADOLITE chez l’associé BEMBA. Cela aurait été fait après une concertation entre BEMBA et son « père » PATASSE, qui espérait organiser la reconquête du pouvoir à partir de la Province congolaise de l’Equateur dont la moitié du territoire était contrôlée par le MLC. Ces enfants perdus centrafricains commençaient ainsi, leur calvaire de « mercenaires » au service d’un caïd n’ayant signé aucun contrat avec eux.<br /> <br /> Certaines sources bien informées renseignent que ces mercenaires centrafricains auraient après leur errance en Equateur, gagné un maquis du Congo Brazzaville où ils auraient suivi un entraînement en guérilla urbaine dans un centre situé près d’IPFONDO à la frontière entre les deux Congo, sous le commandement du mercenaire français Paul BARRIL, un proche du duo PATASSE-BEMBA. Dans ce camp seraient entraînés aussi des anciens militaires de la DSP , la garde prétorienne de Mobutu, qui y ont été envoyés pour le compte du MLC avec la bénédiction de SETI YALE et de Honoré GBANDA, deux anciens chefs de la police meurtrière du Maréchal défunt.<br /> <br /> Les baroudeurs centrafricains ont été récupéré par le MLC en juillet 2006 en compagnie de leurs collègues congolais et cantonnés au fort de MALUKU, un centre aménagé dans la périphérie de Kinshasa par Jean Pierre BEMBA pour l’entraînement de sa milice privée et où il a fait construire une villa de luxe. Plus de 5.000 hommes de troupes stationnent en ces lieux en attente des ordres pour des missions dans la capitale Kinshasa, en Equateur et en Centrafrique. Il semble que lors de leur formation au Congo Brazza, les mercenaires centrafricains recevaient les visites de PATASSE et de ses proches comme DEMAFFOUT, Lionel GANNE BEFIO, SOULEYMANE OUSMANE, Cécile GUERET, DJAMANI etc. <br /> Les opposants centrafricains continuent à soutenir financièrement le MLC et à payer une solde à leurs hommes qui sont chez Bemba dans l’espoir que demain, ils pourront leur être utiles. Ils continuent à croire que leur allié peut réussir à renverser la vapeur en RDC et qu’il pourra ainsi leur renvoyer l’ascenseur en leur permettant de reconquérir le pouvoir à Bangui à partir de l’Equateur.<br /> <br /> Bemba entretient ces mercenaires car il ne croit pas du tout aux élections dans son pays. Il se prépare pour déclencher une guerre après le 29 octobre 2006 en avançant comme prétexte, la fraude électorale en faveur du Président KABILA. Il continue à acheter des armes et se moque bien de la présence de la mission des Nations Unies au Congo. Comme preuve, l’on a qu’à voir le comportement de sa milice à GBADOLITE et à GEMENA où elle empêche les casques bleus de la MONUC à inspecter les avions cargos qui y atterrissent et qui continuent à alimenter le trafic honteux d’armes de guerre sur l’axe TRIPOLI-KHARTOUM-GBADOLITE-KAMPALA-KIGALI.<br /> <br /> A Bangui, l’on ne doute plus de cette détermination de Bemba à vouloir coûte que coûte, commencer une nouvelle guerre en RDC. L’on se dit qu’il faut se préparer en conséquence et continuer à surveiller la frontière longue de plus de 1.200 km qui sépare les deux pays. L’on est sûr que dans sa folie, Bemba peut toujours lâcher les 2 compagnies de rebelles centrafricains sur Bangui à partir de n’importe quelle localité riveraine du fleuve Oubangui. L’on sait aussi que PATASSE est partie prenante dans ce trafic d’armes et que les mêmes gros porteurs ukrainiens ravitaillent la rébellion dans le Nord de la Centrafrique en connivence avec les milices en mouvement au DARFOUR et à l’Est du TCHAD. L’on ne doute pas non plus, de la présence régulière des opposants centrafricains à GEMENA et à MOBAYI où ils sont continuellement en contact avec SETI YALE et Jeannot BEMBA SAOLONA.<br /> <br /> Jean Pierre BEMBA n’hésite donc plus à multiplier les actes de provocation à Kinshasa pour annoncer cette guerre qu’il s’apprête à lancer après le deuxième tour des élections présidentielles. Il est sûr de bénéficier du soutien de tous ses alliés dont Ange Félix PATASSE qui voit dans cette guerre, son seul salut, la seule voie pouvant lui permettre de reprendre le pouvoir à Bangui.<br /> <br /> Bemba organise sa milice et l’équipe en armes légères et lourdes qu’il reçoit de ses amis libyens ou qu’il achète avec le concours de ses alliés en Europe de l’Est. Ces armes transitent par l’Equateur avant d’être acheminées par bateau à Kinshasa. D’autres sont gardées dans les localités frontalières de la RCA notamment à MOBAYI, LIBENGE, DONGO (en Equateur), NDU et ZAPAI (dans la Province Orientale ).<br /> <br /> BEMBA entretient aussi, des contacts suivis avec un autre rebelle centrafricain, le lieutenant DJADDER à qui il a promis une aide substantielle en armes. Il lui a demandé d’user de toutes ses relations avec les rebelles soudanais et tchadiens pour arriver à occuper militairement les préfectures de la BASSE-KOTTO , de MBOMOU et du HAUT MBOMOU afin de pouvoir se ravitailler facilement en armes à partir de ses poudrières du Nord-OUBANGUI et du Haut- OUELE. Le lieutenant DJADDER serait en train de solliciter le soutien du Soudan pour pouvoir réussir son coup. Il fait actuellement des navettes entre Khartoum, Niamey, Ouagadougou et Tripoli pour faire entendre sa voix. Il a essayé d’obtenir le soutien de Djamena qui l’a éconduit car le Président Idriss DEBY n’apprécie pas les accointances des rebelles centrafricains avec les opposants à son pouvoir.<br /> <br /> Aux Centrafricains d’ouvrir alors les yeux et de suivre de près ce qui se passe en RDC car il faut craindre que les manœuvres du Vice Président congolais, Jean Pierre BEMBA à vouloir déstabiliser son pays, ne puissent avoir des répercussions sur l’avenir de la Centrafrique et même sur les relations entre nos deux pays.<br /> <br /> Aux Présidents Joseph KABILA et François BOZIZE de préserver la paix, ce cadeau précieux qu’ils ont offert à leurs populations et de prendre des mesures qui s’imposent pour décourager tous ces fauteurs en eau trouble, tous ces sanguinaires assoiffés de pouvoir. Il faut faire agir la sagesse et la RAISON !<br /> <br /> <br /> Prince Hervé OUANGO<br /> <br /> Bangui (République Centrafricaine)
N
Mes chers compatriotes,<br /> Les belges veulent nous imposer le clivage est( swailiphone) ouest(lingalaphone) alorsqu'il n'existe pas afin de partager notre pays en cas de victoire de son Excellence Monsieur Bemba Ngombo JPBG, le magicien politique le guerrier le seul en RDC capable de nous sauver aujourd'hui avec son armée sofistiquée composée rien que des purs sangs congolais. <br /> Ouvrons nos yeux car Ils ont réussi à monter les hutus contre les Tutsis pour leurs intérêts parceque chez eux les flamands et les wallons ne s'entendent point.<br /> Nous les congolais avec plus de 400 ethnies nous ne devons pas accepter ce shéma diabolique de la part de la Belgique pays satanique sans ressources mais se prétend parmi les grandes puissances du monde? D'ou vient leur argent? Réponse de la RDC. Alors chassons les chez nous avec leur pantin Kabila y compris ses complices congolais nos propres frères. Benda bika le 29 ils doivent tous partir de gré ou de force et nous laisser seul chez nous en RDC. Full Stop
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